Sommet/Charte de Lomé: Faure Gnassingbé félicite les femmes du secteur maritime pour leur contribution

Le chef de l’État togolais Faure Gnassingbé a félicité ce lundi, les membres l’Organisation panafricaine des Femmes du secteur maritime (Women in Maritime in Africa/WIMA Africa) pour leur contribution à la réussite du sommet extraordinaire de l’Union africaine sur la sécurité et la sûreté maritime, tenu samedi à Lomé.

Des femmes, membres de cette Organisation, ont été reçues par le président togolais, en présence du Premier ministre Selom Komi Klassou.

« Connue par le gouvernement togolais deux jours avant le sommet, WIMA Africa a apporté une contribution déterminante à la réussite de cette rencontre. J’ai promis à la Présidente de la Commission de l’Union Africaine, que nous apporterons des solutions à vos préoccupations : la création d’une banque maritime aux femmes, le renforcement des capacités des femmes maritimes et la prise en compte du volet social de vos préoccupations », a promis Faure Gnassingbé.

Associée aux réflexions sur l’économie bleue durant les activités parallèles du sommet de Lomé, WIMA/Africa a organisé une table ronde sur l’implication des femmes du secteur maritime et a bénéficié de l’expertise de la Présidente de la Commission de l’UA, Nkosazana Dlamini Zuma. Environ 66 femmes du secteur maritime de treize pays, avaient part aux discussions.

« Nous comptons sur vous, femmes maritimes pour améliorer l’aspect développement de la Charte de Lomé sur la sécurité et la sûreté maritimes », a-t-il souligné.

Ces femmes ont à leur tour salué le chef de l’État pour son leadership: « Ce sommet a connu un succès éclatant et tout le mérite revient au chef de l’État », a déclaré Mme Akuéle Adanlété-Lawson, trésorière de WIMA Africa.

« Il nous a promis son engagement ferme à œuvrer à nos côtés pour la réalisation et l’atteinte de nos objectifs », a-t-elle précisé.

WIMA/Togo est composée notamment de femmes fumeuses de poissons, de revendeuses d’articles de pêche, des femmes consignataires, manutentionnaires, armateurs et propriétaires de pirogues, ainsi des femmes de l’administration portuaire.

Précisons que la charte adoptée, a été signée par une trentaine de pays. Pour son entrée en vigueur, elle doit être ratifiée par au moins 15 pays. FIN

Abbée DJAGLO

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