Réformes dans le secteur bancaire de l’UEMOA: Des solutions logicielles proposées par CERGI SA pour la gestion des engagements en souffrance

Photo de famille.

Cadres, directeurs des risques, directeurs de systèmes d’informations, directeurs centraux de banques et établissements financières des 8 pays de l’Union Économique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) ont planché ce mercredi à Lomé sur la nouvelle gestion des engagements en souffrance selon les réformes BCEAO, a constaté une journaliste de Savoir News.

Initiative de CERGI SA —  premier éditeur africain des logiciels de gestion bancaire —  ce conclave a été consacré au rappel des nouvelles règles de gestion des engagements en souffrance ainsi qu’aux démonstrations de solutions logicielles proposées par CERGI en vue d’aider le monde de la finance de la sous-région, à mieux gérer les situations de risques et éviter d’éventuelles crises.

« Aujourd’hui, CERGI a animé cette rencontre sur la problématique des engagements en souffrance dans la perspective de la réforme de la BCEAO, qui a initié depuis quelques années une nouvelle réglementation et qui a pris effet depuis le 1er janvier 2018. Le plan comptable bancaire a été revisité et, avec lui tout le dispositif financier pour s’assurer du bon fonctionnement des banques dans notre sous-région. Nous avons saisi l’enjeu de cette problématique, étant éditeur de logiciel depuis bientôt 30 ans, de mettre à disposition de nos clients et de la communauté financière de façon générale, des systèmes d’informations à même de leur permettre de gérer leurs activités », a expliqué Franck-Alex Thalmas (Directeur général adjoint de CERGI).

« A Lomé, nous avons donc présenté à la communauté financière, d’abord notre compréhension du sujet et présenté par la suite, nos solutions logicielles qui pourront apporter beaucoup de satisfaction et de sérénité aux établissements financiers de l’espace UEMOA », a-t-il précisé.

Table d’honneur.

Comme solutions au secteur financier, CERGI propose le logiciel « GESCDL » de gestion automatisée des créances douteuses et litigieuses et le logiciel « CERGI Bank reporting » à la BCEAO, logiciel mis à jour – en adoptant les nouvelles dispositions des autorités monétaires – et conçu dans les normes de développement logiciel.

Selon le représentant de l’Association professionnelle des Banques et institutions financières du Togo (APBIF), l’objectif de la rencontre est de se retrouver avec la communauté financière, pour échanger sur les solutions proposées en vue d’évaluer les difficultés éventuelles. L’accent a été donc mis sur la nouvelle gestion des engagements en souffrance, l’une des exigences majeures de ces réformes.

« Cette rencontre que CERGI a organisée, a été très enrichissante pour nous dans le cadre du traitement général de la nouvelle réglementation et en particulier le cas des traitements en souffrance. La valeur ajoutée que je vais apporter à mon institution, c’est que nous avons des solutions qui peuvent nous faciliter aujourd’hui certaines opérations dont nous souffrons. Non seulement, c’était une rencontre commerciale pour présenter les logicielles de CERGI, mais également formateur. Car, nous avons échangé sur plusieurs aspects », a confié Théo Gbekou (représentant Ecobank).

Rappelons que CERGI SA a été créé à Abidjan (Côte d’Ivoire) en 1991. En vue de sa configuration, cet éditeur africain des logiciels de gestion bancaire a établi depuis 2015, son siège à Lomé avec pour vision, d’offrir des solutions logicielles de gestion les plus adaptées aux activités et à l’évolution du secteur bancaire et financier africain.

Les solutions logicielles de CERGI sont aujourd’hui exploitées par les institutions financières réparties au sein de l’UEMOA et de la CEMAC (Communauté Économique et Monétaire des Etats de l’Afrique Centrale). FIN

 

Chrystelle MENSAH

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