Journée Internationale de la fille : Faure Gnassingbé réitère son engagement pour « l’épanouissement de la jeune fille togolaise »

Le président Faure Gnassingbé

Le 19 décembre 2011, l’Assemblée générale des Nations Unies a déclaré dans la résolution 66/170, le 11 octobre Journée internationale de la fille, afin de reconnaître les droits des filles et les obstacles particuliers auxquels elles se heurtent de par le monde.

Cette journée  met l’accent sur la nécessité de relever les défis auxquels sont confrontées les filles et de promouvoir l’autonomisation des filles et le respect de leurs droits humains.

Cette année, la 10ème édition de la Journée internationale de la fille a pour thème International : « Notre temps est venu, nos droits, notre avenir » et est célébrée le 11 octobre de chaque année.

« En cette journée internationale de la fille, je tiens à réitérer mon engagement pour l’épanouissement de la jeune fille togolaise », a tweeté le chef de l’État togolais Faure Gnassingbé.

« A l’image du Programme d’Excellence pour les Femmes en Afrique, nos efforts seront maintenus pour développer le leadership et l’excellence de nos jeunes concitoyennes dans tous les secteurs-économiques de  notre pays », a-t-il souligné.

Cette journée permet également d’accorder la priorité à la voix des filles et des jeunes femmes, en leur offrant un espace pour échanger et partager leurs messages clés en faveur du changement.

Les adolescentes ont droit à une vie sûre, instruite et saine, non seulement pendant ces années de formation cruciales, mais aussi au fur et à mesure qu’elles deviennent des femmes. Si elles sont efficacement soutenues pendant l’adolescence, les filles ont le potentiel de changer le monde – à la fois en tant que filles autonomes d’aujourd’hui et en tant que travailleuses, mères, entrepreneurs, mentors, chefs de famille et dirigeants politiques de demain.

Notons qu’au Togo, la promotion de la jeune fille fait partie des préoccupations du gouvernement. Plusieurs initiatives sont aujourd’hui déployées en faveur des jeunes filles et le cadre juridique est plus renforcé. FIN

Bernadette AYIBE