« FEST’IMMO « : Les portes ouvertes sur la 2ème édition sur le site du CETEF (PUBLI-REPORTAGE)

La deuxième édition du Salon International de l’Immobilier et de l’Habitat de Lomé (FEST’IMMO 2016″), rendez-vous de trois jours entièrement dédié à l’immobilier, a officiellement démarré ce vendredi au Centre togolais des expositions et foires (CETEF) à Lomé, a constaté l’Agence Savoir News.

L’ouverture a été présidée par Dodji Ankou (représentant le ministre de l’urbanisme et de l’habitat). Alexandre de Souza, président du comité d’organisation, ainsi que le directeur d’Orabank (Institution partenaire de l’événement), étaient aussi présents.

On notait aussi la présence des personnalités politiques administratives, des diplomates, des opérateurs économiques etc… Des juristes du droit fiscal et du droit des affaires, des banquiers, des architectes, des géomètres et des spécialistes de l’énergie ont également fait le déplacement.

Initié par la société « Fest’Immo Sarl », ce salon a pour objectif de rassembler tous les professionnels de la chaîne immobilière sur ce même site, afin de permettre aux visiteurs d’avoir une vision assez exhaustive du marché.

L’événement vise également à créer un espace promotionnel pour les entreprises, à renforcer l’image du professionnalisme des acteurs présents et à conseiller les visiteurs sur les nouvelles tendances en matière de construction, d’habitat et le développement durable.

Quelque 85 exposants dont 20% d’internationaux, participent à ce grand festival immobilier qui se tient au pavillon OTI sur un espace de 1.500 mètres carrés.
Selon M Ankou, il s’agit d’un événement incontournable, une opportunité d’échanges entre acteurs sur les différents défis du secteur : « C’est un secteur d’avenir qui génèrera des centaines de milliers d’emplois ».

« L’immobilier est le besoin primordial auquel aspire les togolais, un besoin légitime. Le Togo a plus que jamais besoin d’infrastructures, c’est primordial et incontournable », a-t-il souligné.

Pour M. de Souza (le président du comité d’organisation de Fest’immo 2016), il s’agit d’offrir aux visiteurs, une large palette d’offres immobilières disponibles immédiatement à la location ou à la vente.

Ce salon permettra aussi de générer de nombreux contacts utiles, d’apporter une réponse globale aux attentes des visiteurs et de permettre des échanges personnalisés.

« Nous voulons amener la population à comprendre qu’il y a du potentiel et que tout le monde peut se construire sa maison. Le premier salon a permis aux promoteurs de réfléchir à des produits qui peuvent être accessibles à tout togolais aux bourses moyennes. Sur ce salon, l’une des innovations, c’est des villas accessibles à 9 millions. Nous avons également créé des espaces +consultations-experts+ gratuits qui sont des espaces personnalisés pour orienter et aider les populations sur des questions liées à l’immobilisation et au foncier », a souligné M. de Souza.

« Tout visiteur peut s’adresser à un notaire, huissier, architecte, etc., pour l’orienter, le conseiller. La particularité de cette édition est d’abord la taille de l’exposition (pratiquement le triple de la première édition). Nous avons également mis en jeu un terrain de 300m2, qui sera gagné par l’un des visiteurs », a-t-il ajouté.

Pendant ces trois jours, des acteurs intervenant dans le secteur immobilier seront à l’écoute des populations et proposeront leurs produits et services. Ils répondront aussi à plusieurs questions liées au secteur.

La journée de ce vendredi sera marquée par des conférences sur « Le rôle de l’huissier de justice et sa fonction dans le domaine de l’immobilier » (animée par maître André Sama Botcho, Président de la chambre nationale des Huissiers de justice du Togo) et « Les origines et causes du problème foncier au Togo : Perspectives nouvelles pour une réforme globale du foncier » (présenté par John Aglo, ancien ministre du travail).

La journée de samedi sera marquée par une conférence sur l’épineuse question des double-ventes ainsi que le risque d’expropriation, une situation à laquelle M Issa Tchanilé (Directeur général de l’urbanisme et de l’habitat) apportera des éclaircissements. FIN

Ambroisine MEMEDE

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