Des DJs de la ville de Kara (environ 420 km au nord de Lomé) ont reçu une formation théorique et pratique sur leurs pratiques, initiative de BB Lomé, à l’occasion des Evala 2025.
Un bon DJ ne se limite plus à faire danser, il devient un véritable acteur économique, capable d’influencer la consommation dans les bars et maquis.
Ils ont été entretenus par Dj Djamel, venu de Lomé. Ce dernier a partagé son expérience et ses astuces sur la gestion d’un public.
Placée sous le signe de l’échange et du partage d’expériences, cette formation vise notamment à professionnaliser davantage ces artisans de l’ambiance qui animent bars et espaces festifs, tout en les sensibilisant à leur rôle commercial dans la promotion des produits.
« Dans un bar, si tu ne fais pas consommer, ce n’est pas l’objectif atteint. Le DJ doit savoir adapter son répertoire au public, mais aussi créer une atmosphère propice à la consommation des produits BB Lomé », a rappelé le formateur.
Cette démarche s’inscrit dans une dynamique d’accompagnement, a précisé Arthur Sossou (chef section Marketing à BB Lomé).
« L’ambiance donne vie au bar, et tant que le bar vit, les consommateurs en profitent, et par ricochet, BB Lomé aussi. Nous avons voulu montrer à ces DJs qu’ils ne sont pas seuls, qu’ils font partie de cette chaîne de valeur. Il s’agit d’un accompagnement durable », a-t-il souligné.
« Il faut comprendre que chaque public a ses codes. On ne mixe pas de la même manière devant des quinquagénaires que devant des jeunes de vingt ans. Ce sont ces détails qui font la différence dans l’impact d’un DJ », a-t-il ajouté.
À travers cette action, BB Lomé montre qu’au-delà de la boisson, elle entend investir dans l’écosystème festif pour continuer à entretenir une culture de la convivialité, et de la consommation responsable.
Les participants interrogés, ont tous salué l’initiative. DJ Azizok, l’un des Djs de Kara, a apprécié cette rencontre.
« Nous avons beaucoup appris sur comment mieux agrémenter nos soirées et inciter à la consommation », a-t-il déclaré.
Conscients que tous les DJs de la ville n’ont pas pu participer, les présents s’engagent à transmettre les enseignements reçus à travers leur association professionnelle.
« Nous avons un groupe dans lequel nous allons partager toutes ces nouvelles connaissances », a assuré DJ Azizok. FIN
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