Togo: Résilience de l’économie, fruit des réformes du président Faure Gnassingbé

Le président Faure Gnassingbé

Dans un environnement économique mondial instable marqué par des tensions géopolitiques et des crises économiques, sécuritaires et humanitaires, le Togo a su faire preuve d’une résilience économique remarquable.

Cette performance, saluée par de nombreux observateurs internationaux, est le fruit de la vision du Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé, déclinée dans la Feuille de route gouvernementale Togo 2025.

En effet, durant ces cinq dernières années, la gouvernance économique du Togo se caractérise par une approche stratégique axée sur l’innovation et des réformes structurelles.

Cette approche novatrice a permis d’assainir les finances publiques et le cadre macroéconomique et de poursuivre la digitalisation de l’administration, l’amélioration du climat des affaires et la promotion de l’entrepreneuriat des jeunes et des femmes.

Un cadre macroéconomique assaini et diversifié

La consolidation des finances publiques, pilier de cette transformation, a permis de maîtriser l’endettement et de dégager des marges budgétaires pour les investissements publics.

La diversification de l’économie, au-delà de sa dépendance traditionnelle au secteur agricole, a été un autre axe majeur. Les investissements massifs dans les infrastructures portuaires, logistiques et énergétiques ont positionné le Togo comme un hub régional, attirant les investissements étrangers et stimulant le commerce.

Ces efforts se traduisent par des améliorations significatives dans les notations des agences de crédit internationales, témoignant d’une gestion macroéconomique prudente et efficace.

L’amélioration du climat des affaires : un catalyseur de croissance récompensé

La réforme du cadre juridique et réglementaire, visant à simplifier les procédures administratives et à renforcer la protection des investisseurs, a considérablement amélioré le climat des affaires. Les initiatives telles que la création du Guichet unique pour les formalités d’entreprises et la digitalisation des services publics ont réduit les délais et les coûts, favorisant l’émergence d’un secteur privé dynamique et innovant. L’objectif affiché par le Togo est de maintenir le cap des réformes, et surtout d’améliorer la performance de ses institutions publiques.

L’inclusion sociale pour promouvoir le développement humain

Pour relever les défis dans les secteurs sociaux, le gouvernement a mis en œuvre des programmes ambitieux de lutte contre la pauvreté et de promotion du développement humain. Les investissements dans le secteur de l’éducation avec la gratuité de l’école du préscolaire au deuxième cycle du secondaire, de la santé avec le programme Wezou, et l’accès aux services sociaux de base ont permis d’améliorer les indicateurs sociaux et de renforcer le capital humain, socle d’une croissance inclusive et durable.

Des programmes innovants tels que, le Fonds Tinga pour l’accès à l’électricité, le Fonds national de la finance inclusive (FNFI), les services bancaires numériques de masse comme Eco CCP, ont contribué à l’inclusion financière dans toutes les régions du pays.

Reconnaissance des institutions financières internationales

Ces efforts ont été reconnus par des organisations internationales qui ont salué les avancées significatives dans les secteurs sociaux et dans l’amélioration du climat des affaires et de la gouvernance économique.

L’édition 2020 du rapport Doing Business de la Banque mondiale fut à cet égard une consécration : le Togo y fut classé 3e pays le plus réformateur au monde et 1er en Afrique subsaharienne, grâce à des avancées notables dans la création d’entreprise, la délivrance de permis de construire, la protection des investisseurs et le commerce transfrontalier.

Cette position est confirmée par le premier rapport du Business Ready (B-READY 2024) du Groupe de la Banque mondiale.

En effet, malgré le changement de méthodologie et de champ d’application, et le contexte économique mondial peu favorable, le Togo garde sa place de meilleur pays réformateur en occupant le premier rang en Afrique de l’ouest, et le troisième rang en Afrique subsaharienne, avec une note globale de 61 points.

En matière de résilience économique, les efforts du Togo ont été salués par la Banque africaine de développement (BAD) et le Fonds monétaire international (FMI). Ces deux partenaires multilatéraux ont souligné la solidité de la gestion

Macroéconomique du pays, en particulier sa capacité à maintenir un taux de croissance supérieur à 5%, malgré les tensions inflationnistes.

Dans la même dynamique, l’agence américaine de notation Standard & Poor’s (S&P Global Ratings) de la filiale de McGraw-Hill a relevé le 18 avril 2025 la note souveraine à long terme du Togo qui passe de ‘B’ à ‘B+’, assortie d’une perspective stable.

Selon les observateurs, «cette décision reflète la résilience de l’économie togolaise face aux chocs externes et l’engagement du gouvernement en faveur de réformes économiques et budgétaires ambitieuse».

Le Togo a également gagné en notoriété sur le plan logistique et commercial. Le Port autonome de Lomé, grâce aux réformes de modernisation de ses opérations douanières et portuaires, a été classé 1er port à conteneurs en Afrique de l’ouest par le Rapport 2023 de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED).

De même, dans l’édition 2023 de l’Indice Ibrahim Mô de la gouvernance africaine, le pays a enregistré une progression significative, notamment en matière de transparence économique, de services publics et d’administration numérique.

En définitive, la trajectoire ascendante du Togo est le témoignage d’une gouvernance économique pragmatique, incarnée par le Président de la République, Faure Essozimna Gnassingbé. Sous ses orientations, le gouvernement multiplie de nouvelles initiatives pour garder le cap et s’imposer progressivement comme un modèle de transformation économique dans la sous-région ouest africaine.

Savoir News/Présidence togolaise