A l’Institut Biblique Faith Towers de Kpalimé: Fin de formation pour sept étudiants

Sept étudiants de la sixième promotion de l’Institut Biblique Faith Towers (basé à Kpalimé) ont reçu ce week-end, leurs diplômes de fin de formation lors d’une cérémonie de prière et d’adoration, a constaté le correspondant de l’Agence Savoir News.

Baptisés « disciples de Jésus Christ », les sept étudiants ont suivi une formation de deux ans en anthropologie, harmatiologie sotériologie, ecclésiologie, christologie. Ils ont aussi étudié l’éthique chrétienne, la sociologie de la famille, la théologie des enfants, l’obéissance et la tentation, le mépris de l’église, l’identité, la loyauté et la déloyauté, le jeûne et prière et l’évangélisation en première année.

En deuxième année, les récipiendaires avaient étudié la pneumatologie, l’angélologie, l’homilétique et communication, l’histoire de l’église, le leadership, herméneutiques le survol du nouveau testament, la missiologie, l’implantation d’église, intercession, délivrance et restauration, la musique : louange et adoration, le compromis.

« La valeur d’un pasteur est la respiration spirituelle pour un nation », a souligné pasteur Kouava Robert (Administrateur de l’Institut Biblique Faith Towers).

Il a demandé aux récipiendaires de vivre et de mettre en pratique les enseignements reçus et d’être les modèles dans leur société.

Les étudiants par la voix de Godfried Koami Avogbedo, se sont réjouis de cette opportunité qui leur est donnée d’oeuvrer pour le salut des âmes.

« Conscients de notre appel pour l’œuvre de Dieu, qui est une lourde responsabilité, nous demeurons soumis et demandons à Dieu de nous accorder la grâce nécessaire pour assumer cette noble tâche », a-t-il jouté.

Les étudiants de cette sixième promotion, ont exprimé leurs reconnaissances aux parents pour leur soutien qui leur a permis de bien étudier et de devenir aujourd’hui les disciples de Jésus-Christ.

Ils ont lancé un appel à ceux qui résistent encore à l’appel de Dieu, de leur emboîter le pas, « car la moisson est grande, mais peu sont les ouvriers qui s’engagent ». FIN

De Kpalimé, Bolassi ATCHINAKLE

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