Les lauréats du premier cycle du Programme de Recherche des Émirats arabes unis pour la Science de l’Amélioration de la Pluie présentent des résultats exceptionnels obtenus des projets finaux au 3ème Forum International sur l’Amélioration de la Pluie

Les lauréats du premier cycle du Programme de Recherche des Émirats arabes unis pour la Science de l’Amélioration de la Pluie présentent des résultats exceptionnels obtenus des projets finaux au 3ème Forum International sur l’Amélioration de la Pluie

 

Abou Dhabi, Émirats arabes unis, 17 janvier 2019—(AETOSWire): Le Forum International sur l’Amélioration de la Pluiedu Programme de Recherche des Émirats arabes unis pour la Science de l’Amélioration de la Pluie, a présenté aujourd’hui, dans sa 3ème édition, les résultats finaux réalisés par ses lauréats du 1er cycle lors de la Semaine de la Durabilité 2019 d’Abou Dhabi.

En présence d’un public distingué comprenant des dignitaires haut calibre, des diplomates, des parties prenantes et des experts scientifiques, Dr. Linda Zou, les professeurs Volker Wulfmeyer et MasatakaMurakami ont présenté les résultats finaux obtenus d’une recherche innovante visant à développer la science de l’amélioration de la pluie aux Émirats arabes unis et dans d’autres pays.

Les trois lauréats qui ont présenté les résultats positifs obtenus des projets de recherche originaux réalisés dans un délai de trois ans sont les suivants :

  • Linda Zou, professeur à Khalifa University of Science and Technology, a fabriqué, testé et validé de nouveaux matériaux d’ensemencement dans les nuages basés sur la nanotechnologie et capables de faire augmenter de 3 fois les dimensions des gouttelettes de pluie par rapport à leur taille originale, à une humidité relative complète, en comparaison aux matériaux classiques d’ensemencement dans les nuages. Deux brevets d’invention ont été déposés concernant ce matériau unique, et un examen sur les méthodes potentielles de la production en série est désormais en cours.
  • MasatakaMurakami, professeur désigné à l’Institut de Recherche Environnementale Spatio-terrestre à l’Université de Nagoya et chercheur invité à l’Institut de Recherche Météorologique du Japon a mis au point de nouvelles méthodes d’évaluation statistique pour étudier les effets à long terme de l’ensemencement et rechercher des améliorations concernant les effets de l’ensemencement. Il a développé aussi un modèle de simulation numérique pour la prévision et l’identification des nuages appropriés pour l’ensemencement.
  • Volker Wulfmeyer, Directeur général et Président de la Faculté de Physique et de Météorologie à l’Institut de Physique et de Météorologie de l’Université Hohenheim à Stuttgart, en Allemagne, a développé un modèle de prévision numérique 3D de la météo à haute résolution permettant d’identifier les emplacements optimaux de la couverture terrestre et les modifications des terrains afin d’augmenter la quantité des précipitations. Outre la détermination des caractéristiques des plantations et les gains nets en eau, un autre résultat attendu du projet a été reflété par la réduction des émissions de carbone, servant ainsi à aider les UAEà atteindre les objectifs climatiques et les exigences de réduction du CO2 stipulées par l’Accord de Paris.

Commentant cet événement, Alya Al Mazroui, Directrice du Programme de Recherche des Émirats arabes unis pour la Science de l’Amélioration de la Pluie, a dit: « Les excellents résultats réalisés par nos lauréats du 1er cycle font preuve de leadership de notre programme dans l’innovation dans le domaine de l’amélioration de la pluie en utilisant les sciences et les technologies les plus avancées. Les progrès dans ce domaine offrent des méthodes de plus en plus viables et techniquement réalisables pour reconstituer et accroître les ressources en eau. Les lauréats du programme ont déjà lancé ensembles de nouvelles solutions applicables aux régions arides et dans d’autres régions ».

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

 

 

 

*Source: AETOSWire