L’Institut National d’Assurance Maladie (INAM) a rencontré ce mercredi à Lomé, un deuxième groupe des commerçantes des marchés, afin de les informer et d’échanger avec elles sur l’assurance maladie, a constaté une journaliste de Savoir News.
Il s’agit des femmes commerçantes de quatre marchés de Lomé (Cacavéli, Agoè-Nyivé, Hédzranawoé, Kégué).
Les responsables de l’INAM ont fait le même exercice avec un premier groupe des femmes de marchés de trois marchés (Agbadahonou, Abattoir, Le Togo), après l’étape de Kara.
Placée sous le thème : « La couverture maladie au cœur de nos marchés », la rencontre de ce mercredi, a permis aux responsables de l’Institution de bien entretenir ces femmes, afin qu’elles aient une idée sur tous les contours de la couverture maladie au Togo.
« Nous poursuivons toujours dans notre démarche participative : échanger avec les potentiels bénéficiaires pour ensemble, construire quelque chose de durable. Notre principe de base, c’est la solidarité et pour construire la solidarité, il faut échanger », a expliqué Dissaliba Winga (Chef département affiliation et recouvrement à l’INAM).
Depuis 2015, l’INAM s’active à étendre la couverture maladie à toute la population pour l’effectivité de la couverture maladie universelle. Après les fonctionnaires de l’administration publique, les artisans bénéficient aussi depuis 2019 de la couverture maladie.
« Aujourd’hui, l’INAM nous a fait appel et nous ont parlé de ce que sait que la couverture maladie dans son ensemble. Le message est clair et nous sommes très contentes. Nous comptons relayer l’information aux autres femmes de nos différents marchés qui n’ont pas pu être présentes », a souligné Hélène Kougnon (commerçante au marché d’Agoè-Nyivé).
Notons que l’assurance maladie a commencé depuis 2012 avec les agents publics et assimilés.
En rappel, l’INAM est un établissement public à caractère autonome créé par la loi du 18 février 2011.L’Institut a pour mission d’assurer la couverture des risques liés à la maladie, aux accidents et maladies non professionnels et à la maternité des agents publics et de leurs ayants droit. FIN
Bernadette AYIBE
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