Réjouissance : Le Beaujolais nouveau/2016 dégusté jeudi soir à Lomé

Quel goût a le Beaujolais nouveau 2016 ? L’arôme de « banane » est-il encore au rendez-vous ? La nouvelle cuvée du vin Beaujolais nouveau a été dégustée jeudi soir dans les jardins de l’hôtel Sarakawa à Lomé. Une fois encore, la tradition a été respectée.

Chaque année, le Beaujolais nouveau est célébré le 3e jeudi du mois de novembre. Cadre réservé pour la circonstance : le jardin de l’Hôtel Sarakawa.

Le cocktail a été offert par la compagnie Air France. M. Philippe Maciocia, Délégué de ladite Compagnie pour le Togo, était aussi présent.

« Le beaujolais nouveau est un vin que j’ai connu depuis mon séjour dans l’hexagone. C’est un vin qui se laisse boire avec toutes sortes de viande. Cette année, il tient encore ses promesses, avec son parfum légèrement fruité », a apprécié Jean Adolehoumé, l’un des invités.

« Le beaujolais nouveau se distingue toujours par son goût de fruits très prononcé : banane, fraise, pamplemousse, cerise …Depuis environ 7 ans, je ne rate jamais ce rendez-vous », a renchéri un autre invité, après l’avoir savouré.

Tour à tour, les invités à cette +fête+ sont passés à la table pour se faire servir ce vin riche, et très fruité.

En 2015, plus de 30 millions de bouteilles ont été commercialisées en France et à l’étranger.

Depuis 1951, date de l’autorisation de sa mise en vente anticipée, le Beaujolais nouveau est progressivement devenu le symbole du vin festif. La dégustation du Beaujolais nouveau est devenue une tradition connue et pratiquée dans de nombreux pays qui fêtent ensemble l’amitié entre les peuples, l’amitié entre la France et les différents pays, a souligné M. Maciocia.

« Comme chaque année, cet événement – commercial – est l’occasion de s’intéresser à ce vin +primeur+. On l’appelle ainsi, car il est jeune, produit pour être consommé dans les mois qui suivent la récolte. Le beaujolais primeur ou « beaujolais nouveau » est donc consommable deux mois après. Le jus des grappes entières, pressuré, encuvé, fermenté, donne un vin peu tannique, de couleur rouge et limpide », précise-t-il.

« Après l’avoir dégusté, je suis impressionné parce qu’il y a eu des années de travail dans le beaujolais nouveau. Ils ont fait d’énormes efforts de vinification et ce vin est devenu véritablement quelque chose de très parfumé, très dense et très fort », a qualifié M. Maciocia. FIN

Abbée DJAGLO

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